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02 février 2010

Commentaires

José

Amour, amour...

Qu'il est bon de se souvenir de l'Amour que donne le "Père des pauvres" envers ceux qui attendent de lui. Merci pour ce choix de paroles prononcées par Monsieur Philippe.

Pour Maitre Philippe

Bonjour,

J'ai été si déçue de beaucoup de choses lues sur internet, et sur certains livres, que je suis agréablement surprise de lire ces lignes. J'ai crée un site sur Monsieur Philippe: http://www.philippedelyon.fr pour essayer de nettoyer, de défendre toutes les saletés, pour rester très correcte, dites à son sujet.

Au plaisir de vous lire

Spirituellement

Laurent

Merci pour article. Ses paroles prononcées pour lui-même sont empreintes de beaucoup d'amour pour le prochain, pour les Hommes.

Se peut-il que n'étant "rien" ou "le plus petit d'entre-vous", il réussisse en son temps à vivre en parfaite union avec son "Ami" et par la même, à parler parfois comme s'il était le Christ ? Et à accomplir des miracles.

Comme si, près de 2000 ans plus tard, il soit venu pour montrer aux générations à venir : Jésus est vivant, voyez Son Amour, regardez Ses miracles et gardez la foi.

Charles

Merci pour ce rappel primordial mais avant d’aimer les autres, aimons l’un au sens où nous serions cet "un". Qu'en pensez-vous ?
Qui ose dire cet axiome sans crainte d’être jugé d’égoïste ou de prétentieux aujourd’hui ? Combien de gens se sont-ils inventés le rôle de pleutre à force de n’oser ? S'aimer ne décline en rien l’idée que l’autre passerait après nous mais plutôt définirait la pose que nous nous connaîtrions davantage après une pause (à l’instar du fronton de Delphes) pour encore mieux servir autrui ! Pour prendre un exemple trivial : comment conduire une voiture si nous n’usions de nos consciences kinesthésiques ou visuelles ? Me demanderiez-vous de conduire un ovni, que je ne pourrai m'y contraindre pour vous emmener sur ma planète qu’à condition d’avoir déjà user d'un tel engin ! Comment aimer l’autre sans m’aimer moi-même ! La définition de la souffrance et du sacrifice prendrait une toute autre allure au lieu des incommodités post 14-18 que certains disciples perpétuent encore de nos jours parce que "leur Sédir " (ou plutôt le portrait qu’ils préfèrent transmettre les conditionne afin d’éviter aux autres d’avancer vers la Liberté, l’Éveil par le Christ Présent depuis l’aube des temps) les sert plus qu’il ne sert le proche, le voisin, etc.
Aussi :
Aimons-nous les uns comme Le Christ nous a aimés ! Oui mais le présent ne serait donc plus d’actualité vu que la syntaxe grammaticale est un composé ? Comme le Christ est en chacun, en dehors et autour en et au dehors de nous, comment imaginer qu’aimer l’autre ne serait que le terrible effort de lutter sans fondement et envers et contre tout puisqu'Il est Là ! Essayons de relire cette phrase avec toute la dimension du langage des oiseaux et l’oubli total des dogmes et doctrines charriés depuis des siècles par les églises ou les groupes d’amitiés religieuses qui finissent par penser par l’entrefait des textes de petits messieurs au lieu de s'en tenir au reflet resplendissant de la Vérité inscrite dans LE TEXTE !
Posons nous pour une pause d’où resplendira la fleur de la Lumière qui nous lisse tel les photos de M. P., mains sur les cuisses, le regard bénissant l’Ordre du Monde pour celui qui sait lire le Silence au dehors des doctrines. Ces clichés photographiques sont des Rites, l’Ordo contre le Chaos de la définition toute faite. Ils permettent le Passage.
Bien à vous, amicalement,

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